L’Afrique face au COVID-19 : l’apocalypse annoncée n’a pas eu lieu
30 avril 2020Des experts annoncent depuis des mois une déferlante de l’épidémie de Coronavirus (COVID-19) en Afrique, où la pauvreté et le manque d’infrastructures de santé font craindre le pire.
Pourtant, alors que le premier cas remonte au 14 février 2020 sur le continent, la vague n’est toujours pas arrivée.
Certains pays commencent même à lever le confinement imposé depuis quelques semaines. À n’en point douter, une force juste veille sur ce continent à l’image négative, misérabiliste et victime de préjugés.
George Gordon Byron, 6e baron Byron, généralement appelé Lord Byron, est un poète britannique, né le 22 janvier 1788 à Londres et mort le 19 avril 1824 Missolonghi, en Grèce, alors sous domination Ottomane. Il dit un jour :
« Nous devons donner plus d’amour aux Africains, nous leur avons tout pris. Tout : dépersonnaliser, vider, déshumaniser. Toute la terre n’avait plus qu’une pensée, et c’était la pensée de la mort pour l’Afrique, d’une mort prochaine et sans gloire. Mais cette Afrique-là sauvera le monde ».
« L’Être et le Néant », publié en 1943, cherche à répondre à la question « qu’est-ce que l’être ? ». Cela amène Jean-Paul Sartre à s’intéresser à la conscience, au néant, à autrui, mais aussi à des comportements comme la mauvaise foi ou la honte.
Jean-Paul Sartre utilise, pour ce faire, une approche phénoménologique qui se nourrit de ses lectures de Heidegger. On en vient, là, à ce que certaines choses ne sont pas rationnellement explicables, voire difficilement explicables.
Dieu existe
Depuis le premier cas de coronavirus (COVID-19) sur le continent, le 14 février 2020 en Égypte, des experts nous prédisent un scénario effrayant.
L’Afrique allait être rapidement submergée par cette pandémie avec, à la clé, un cataclysme sanitaire dans un continent pauvre, au système de santé défaillant. L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) appelle, presque chaque jour, le continent « à se préparer au pire »
Deux mois plus tard, le Tsunami n’a toujours pas eu lieu, alors que les pays européens et les États-Unis sont violemment frappés. En Afrique, les nouvelles sont bonnes. Certains pays du continent ont levé le confinement, à l’exemple de la Tanzanie, le Ghana et le Burkina Faso.
La Tanzanie s’en remet désormais à Dieu et refuse de sacrifier son économie.
Au Ghana, la vie normale reprend son cours même si l’inquiétude demeure.
Au Burkina Faso, le grand marché de Ouagadougou rouvre ses grilles, les affaires vont enfin pouvoir reprendre.
Alors que le continent va de plus en plus vers ce dénouement, les Occidentaux, qui ont passé le temps à se demander pourquoi les Africains ne meurent pas en masse, tombent des nues.
La question que tout le monde se pose, c’est évidemment : était-ce l’objectif de ce virus fabriqué dans leur laboratoire pour exterminer les populations du continent et s’emparer des richesses sans négociation aucune ?
Le monde entier annonçait le déluge pour l’Afrique. Les propos abjects de Jean-Paul Mira, chef de service de médecine intensive et réanimation à l’hôpital Cochin à Paris, en sont l’illustration parfaite.
Invité sur LCI, cet être malfaisant avait proposé de tester le vaccin contre le COVID-19 en Afrique où, selon lui, il n’y a pas de masques, pas de traitement, pas de réanimation, les populations sont exposées et pas du tout protégées, c’est-à-dire vulnérables.
Si je peux être provocateur, « est-ce qu’on ne devrait pas faire cette étude en Afrique, où il n’y a pas de masques, pas de traitement, pas de réanimation, un peu comme c’est fait d’ailleurs sur certaines études avec le Sida, ou chez les prostituées : on essaie des choses parce qu’on sait qu’elles sont hautement exposées et elles ne se protègent pas ».
Jean-Paul Mira, qui affiche un comportement raciste manifeste, voulait se servir des Africains comme des cobayes. Il feint sciemment d’ignorer qu’en Afrique, on enregistre moins de morts qu’en Occident.
Les Africains étaient donc les meilleurs candidats de l’apocalypse qui s’annonçait sur tous les médias occidentaux. Il importe de souligner que ce comportement avait quelque chose de malsain, maléfique et meurtrier.
Les Africains, qui se sont contentés des mesures sans argent, ont été jusqu’ici épargnés.
Qu’est-ce qui a protégé l’Afrique ?
Il n’y a aucune explication scientifique à ce phénomène. Qu’on le croit ou non, Dieu existe. On peut l’appeler Dieu ou comme l’on veut, mais il y a au-dessus des êtres humains une force juste qui veille. Et quand Il combat, Il gagne toujours. Le dire n’est pas être fanatique du spiritualisme, mais un esprit présent.
Une chose est certaine : l’Afrique survivra parce que l’humanité repose sur elle.
Robert Kongo, correspondant en France